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  • Rubrique aspersion

    Le dimanche, et surtout en Temps pascal, au lieu de l’acte pénitentiel, on peut aussi faire la bénédiction et l’aspersion de l’eau en mémoire du baptême.

  • Kýrie eléison (choix)

  • Kýrie eléison (grec)

    Ensuite, on chante ou on dit le Kýrie eléison :

    Kýrie eléison.
    ℟. Kýrie eléison.

    Christe eléison.
    ℟. Christe eléison.

    Kýrie eléison.
    ℟. Kýrie eléison.

  • Absolution

    Puis, le prêtre prononce l’absolution :

    Que Dieu tout-puissant
          nous fasse miséricorde ;
    qu’il nous pardonne nos péchés
          et nous conduise à la vie éternelle.

    Le peuple répond :

    ℟. Amen.

  • Bénédiction du sel

    Lorsque les conditions locales ou les traditions populaires invitent à maintenir, dans la bénédiction de l’eau, le mélange du sel, le prêtre bénit le sel en disant :

    Nous t’en prions, Dieu tout-puissant,
    dans ta bonté, daigne bénir ce sel qui tu as toi-même crée.
    Jadis, tu as ordonné au prophète Élisée
          d’en jeter dans les eaux mauvaises
          pour les assainir et les rendre fécondes.
    Permets, Seigneur,
    qu’en tout lieu où l’on répandra cette eau mêlée de sel,
          les attaques de l’Adversaire soient repoussées
    et que la présence de ton Esprit Saint
          nous protège continuellement.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Puis le prêtre met le sel dans l’eau, sans rien dire.

  • Bénédiction et aspersion de l’eau bénite

    Le dimanche, au Temps pascal, au lieu de l’acte pénitentiel, on peut aussi faire la bénédiction suivante et l’aspersion de l’eau en mémoire du baptême.

    Après la salutation, le prêtre, debout au siège, tourné vers le peuple, ayant devant lui le vase avec l’eau à bénir, invite à prier en ces termes :

    Frères et sœurs bien-aimés,
          demandons au Seigneur de bénir cette eau qu’il a créée ;
    nous allons en être aspergés en mémoire de notre baptême :
          que Dieu nous vienne en aide,
          afin que nous demeurions fidèles
          à l’Esprit que nous avons reçu.

    Après un bref silence, il dit, les mains jointes, la prière de bénédiction de l’eau :

    Seigneur, Dieu tout-puissant,
    sois favorable aux prières de ton peuple :
    tandis que nous célébrons la merveille de notre création
          et la merveille plus grande encore de notre rédemption,
          daigne bénir cette eau.
    Tu l’as créée pour féconder la terre
          et donner à nos corps fraîcheur et pureté.
    Tu en as fait aussi l’instrument de ta miséricorde :
    par elle tu as libéré ton peuple de la servitude
          et tu as étanché sa soif dans le désert ;
    par elle les prophètes ont annoncé la nouvelle Alliance
          que tu allais conclure avec l’humanité ;
    par elle enfin, eau sanctifiée par le Christ au Jourdain,
          tu as renouvelé notre nature pécheresse
          dans le bain de la nouvelle naissance.
    Que cette eau, maintenant,
          nous rappelle notre baptême
    et nous fasse participer à la joie de nos frères et sœurs
          les baptisés de Pâques.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Utilisation de sel  &nbsp ☑

    Lorsque les conditions locales ou les traditions populaires invitent à maintenir, dans la bénédiction de l’eau, le mélange du sel, le prêtre bénit le sel en disant :

    Nous t’en prions, Dieu tout-puissant,
    dans ta bonté, daigne bénir ce sel qui tu as toi-même crée.
    Jadis, tu as ordonné au prophète Élisée
          d’en jeter dans les eaux mauvaises
          pour les assainir et les rendre fécondes.
    Permets, Seigneur,
    qu’en tout lieu où l’on répandra cette eau mêlée de sel,
          les attaques de l’Adversaire soient repoussées
    et que la présence de ton Esprit Saint
          nous protège continuellement.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Puis le prêtre met le sel dans l’eau, sans rien dire.

    Ensuite, prenant le goupillon, il se signe lui-même de l’eau, puis il asperge les ministres et l’assemblée, en circulant dans l’église si cela est utile pour la signification du geste.

    Pendant ce temps, on chante un chant approprié.

  • Bénédiction et aspersion de l’eau bénite

    Le dimanche, et surtout en Temps pascal, au lieu de l’acte pénitentiel, on peut aussi faire la bénédiction et l’aspersion de l’eau en mémoire du baptême.

    Après la salutation, le prêtre, debout au siège, tourné vers le peuple, ayant devant lui le vase avec l’eau à bénir, invite à prier en ces termes :

    Frères et sœurs bien-aimés,
          demandons au Seigneur de bénir cette eau qu’il a créée ;
    nous allons en être aspergés en mémoire de notre baptême :
          que Dieu nous vienne en aide,
          afin que nous demeurions fidèles
          à l’Esprit que nous avons reçu.

    Après un bref silence, il dit, les mains jointes, la prière de bénédiction de l’eau :

    Seigneur, Dieu tout-puissant,
    toi qui es la source et l’origine
          de toute vie du corps et de l’âme,
          nous te prions de bénir cette eau :
    nous y recourons avec confiance
          pour implorer le pardon de nos fautes
          et obtenir la protection de ta grâce
          contre toute maladie
          et contre les embûches de l’Adversaire.
    Dans ta miséricorde, Seigneur,
          ne cesse pas de faire jaillir pour nous
          les eaux vives du salut ;
    nous pourrons alors nous approcher de toi avec un cœur pur,
          et nous soustraire aux périls de l’âme et du corps.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Utilisation de sel  &nbsp ☑

    Lorsque les conditions locales ou les traditions populaires invitent à maintenir, dans la bénédiction de l’eau, le mélange du sel, le prêtre bénit le sel en disant :

    Nous t’en prions, Dieu tout-puissant,
    dans ta bonté, daigne bénir ce sel qui tu as toi-même crée.
    Jadis, tu as ordonné au prophète Élisée
          d’en jeter dans les eaux mauvaises
          pour les assainir et les rendre fécondes.
    Permets, Seigneur,
    qu’en tout lieu où l’on répandra cette eau mêlée de sel,
          les attaques de l’Adversaire soient repoussées
    et que la présence de ton Esprit Saint
          nous protège continuellement.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Puis le prêtre met le sel dans l’eau, sans rien dire.

    Ensuite, prenant le goupillon, il se signe lui-même de l’eau, puis il asperge les ministres et l’assemblée, en circulant dans l’église si cela est utile pour la signification du geste.

    Pendant ce temps, on chante un chant approprié.

  • Bénédiction et aspersion de l’eau bénite

    Le dimanche, et surtout en Temps pascal, au lieu de l’acte pénitentiel, on peut aussi faire la bénédiction et l’aspersion de l’eau en mémoire du baptême.

    Après la salutation, le prêtre, debout au siège, tourné vers le peuple, ayant devant lui le vase avec l’eau à bénir, invite à prier en ces termes :

    Frères et sœurs bien-aimés,
          demandons au Seigneur de bénir cette eau qu’il a créée ;
    nous allons en être aspergés en mémoire de notre baptême :
          que Dieu nous vienne en aide,
          afin que nous demeurions fidèles
          à l’Esprit que nous avons reçu.

    Après un bref silence, il dit, les mains jointes, la prière de bénédiction de l’eau :

    Dieu éternel et tout-puissant,
    tu as voulu que l’eau, source de vie et principe de pureté,
          lave aussi nos âmes
          et nous apporte le don de la vie éternelle ;
    daigne bénir cette eau,
          pour que nous en recevions des forces
          en ce jour qui t’est consacré.
    Par cette eau,
          renouvelle en nous la source vive de ta grâce,
          défends-nous contre tout mal de l’esprit et du corps ;
    nous pourrons alors nous approcher de toi avec un cœur pur,
          et accueillir pleinement le salut que tu nous donnes.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Utilisation de sel  &nbsp ☑

    Lorsque les conditions locales ou les traditions populaires invitent à maintenir, dans la bénédiction de l’eau, le mélange du sel, le prêtre bénit le sel en disant :

    Nous t’en prions, Dieu tout-puissant,
    dans ta bonté, daigne bénir ce sel qui tu as toi-même crée.
    Jadis, tu as ordonné au prophète Élisée
          d’en jeter dans les eaux mauvaises
          pour les assainir et les rendre fécondes.
    Permets, Seigneur,
    qu’en tout lieu où l’on répandra cette eau mêlée de sel,
          les attaques de l’Adversaire soient repoussées
    et que la présence de ton Esprit Saint
          nous protège continuellement.
    Par le Christ, notre Seigneur.
    ℟. Amen.

    Puis le prêtre met le sel dans l’eau, sans rien dire.

    Ensuite, prenant le goupillon, il se signe lui-même de l’eau, puis il asperge les ministres et l’assemblée, en circulant dans l’église si cela est utile pour la signification du geste.

    Pendant ce temps, on chante un chant approprié.

  • Kýrie eléison (français)

    Ensuite, on chante ou on dit le Kýrie eléison :

    Seigneur, prends pitié.
    ℟. Seigneur, prends pitié.

    Ô Christ, prends pitié.
    ℟. Ô Christ, prends pitié.

    Seigneur, prends pitié.
    ℟. Seigneur, prends pitié.